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Louleen : Présentation RolePlay

 
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Auteur
Louleen
Invité




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MessagePosté le: Mer Fév 01, 2006 5:02 pm    Sujet du message: Louleen : Présentation RolePlay Répondre en citant

Bien que je ne sois plus beaucoup présente ingame, je vous livre la troisième partie du roman de ma petite vie...
J'espère avoir le plaisir de relire les biographies de tous ceux qui s'étaient donné du mal pour nous faire découvrir leur personnage, mais dont nous avons perdu la trace à cause de la disparition de nos précédents forums, je pense notamment à Hepao, Subutexdoc, et tous les autres... J'espère aussi poursuivre la lecture des bio entamées ici, Lycosia et Gandou. Et pourquoi pas en lire de nouvelles.

bonne lecture

Part one

28 Sept 29479
Flownn flownn flownn... J'ouvre les yeux... "Danger Dunes... Merde, je suis encore à Danger Dunes..."

Les pales de mon petit ventilo portatif me souffle une brise qui doit bien atteindre les 35 degrés, pourtant selon mon holomontre qui se projette dans le ciel bleu lipide, le soleil est levé depuis a peine une heure, mais la température grimpe...

D'habitude je préfère chasser de nuit, mais ma mission arrive a échéance, et il me manque encore un composant à ramener à Dodga. La veille j'avais déjà passé la journée à la recherche de cette putain d'Ancient looking lamp relay, jusque tard dans la nuit, sans résultat. J'avais décidé, une fois de plus, de ne pas rentrer à Old Athen. Pour gagner du temps, je m'étais installé un petit campement, histoire de récupérer quelques forces.

Les pales du ventilos m’endorment, elles me rappellent mon enfance.
Une maison de bois dans un oasis de verdure. La fenêtre de ma chambre donnait sur les collines du mont d’émeraude, rien que son nom me faisait rêver. Mon père toujours à s’enquérir de mon confort avait installé un ventilateur à la fenêtre, un été de grosse chaleur. Les pales tournait et me faisait tourné la tête… Je me perdais dans des mondes imaginaires peuplés de créatures étranges, parfois hostiles. Heureusement je m’inventais des compagnons de voyage à l’image de mes parents, tendre et fort à la fois. Et nous traversions des aventures plus folles les une que les autres, parfois triste et cruelle, mais nous finissions toujours par gagner.

Il me faut ce foutu composant, il ne me reste que quelques heures… Dodga compte sur moi !
8 heures du mat et je pue déjà la transpiration… depuis combien de temps ne me suis-je pas lavé… Il faut que je me lève sinon je vais mourir de déshydratation…

Mon corps rechigne à se bouger. A force de volonté je fini par m’asseoir, ma main attrape difficilement la gourde, dévisser le bouchon est un effort dont je ne me serais pas cru capable… enfin l’eau coule sur mes lèvres… chaude mais tellement sublime…
Mon corps renaît. Il me reste quelques provisions. Une barre de céréales fera l’affaire… Vite avalée. Je serre les poings, c’est le début d’une longue journée. Le campement est vite démonté. Le soleil sera mon seul compagnon d’aventure aujourd’hui encore.

Je branche le scanner, pas de scooplet en vue. Direction le nord, ils se regroupent souvent là bas dans les profondeurs du désert. Il ne me reste que peut de temps, alors je force la marche. Sable caillasse et un soleil de plomb... et par dessus tout, l'envie d'abandonner...
Papa, maman, pourquoi vous n'êtes pas a mes côtés ?
Papa, maman, pourquoi vous m'avez abandonnée ?

Mes yeux se perdent dans l'horizon sans fin. Une ligne d'horizon qui se déforme sous l'effet de la chaleur, le sol paraît s'enflammer, suis-je arrivée en enfer ?
Quelqu'un s'approche... non ils sont deux, je plisse les yeux pour mieux les distinguer.
Ma respiration se bloque, en une fraction de seconde des frissons ont parcourus mon corps. Ce... c'est impossible... comment... Je suis paralysée...
Deux mots sortent de ma bouche comme jaillis de mes entrailles, ils m’arrachent les poumons irrités par le sable.
Papa, Maman...
A suivre...


Part 2

Avec ces mots s'envolent mes dernières forces, mes jambes se mettent à vaciller, je tombe à genoux.
Ma mère me tend la main.
« Louleen soit forte, nous avons essayé de te protéger du mieux que nous pouvions, mais la vie n'est pas le paradis que tu connais. »
Mon père enchaîne, il pleure.
« Tu es la plus belle chose qui nous soit arrivé à ta mère et à moi, et je t'en remercie, pendant six ans notre vie n'a été que joie et bonheur. Aujourd'hui les forces du mal ont gagné une bataille mais pas la guerre, et c'est toi, un jour, qui prendra notre relais. »
Ma mère dissimule ses larmes, mais sa voix la trahie.
« Ne laisse personne d'arracher tes souvenirs, ils sont la chose la plus précieuses que tu possèdes. Ils ont de grands pouvoirs. Le pouvoir de te motivé lorsque tu crois que tout est perdu, comme le pouvoir de te réconforter lorsque tu es triste, dans chaque situations que tu rencontreras fait appel à tes souvenirs pour faire tes choix, et ne laisse personne te dicter ta conduite... »
« Nous t'aimons du plus profond de notre âme... »

Ce furent les dernières paroles que j'entendis alors que l'on m'éloignait d'eux, ce 27 Août 29461.
Un soldats d' ICC m'entraînait délicatement mais fermement vers le groupe de gosse qu'ils avaient constitué depuis leur arrivé.
Dans le stade de TIR, bondé de milliers de manifestants pacifiques, on n'entendait que quelques pleurs d'enfants en bas âge, et quelques chuchotements.
Cette dignité dans la douleur, je ne l'oublierais jamais.
J'étais parmi les derniers à intégrer la centaine d'enfants groupé près de la sortie lourdement gardée, par les soldats d'Omni-Tek.
Je n'ai pas pleuré, je ne me suis pas retourné, en fait je ne comprenais pas ce qui se passait. Repliée sur moi même j'essayais de donner un sens aux évènements que je venais de vivre.

La veille au soir, nous avions quitté notre ferme près des monts d'émeraudes, mes parents m’avaient expliqué que le lendemain allait être un grand jour. Que nous allions manifester pour la paix. Pour que cesse enfin ces attentats meurtriers des quelques clans non affilié au 'Council of Truth' et surtout pour qu'Omni-Tek retire ses troupes qui s'étaient déployées le matin même sur nos territoires.

Lorsque je me suis réveillé ce matin là, il y avait une ambiance extraordinaire, nous étions aux portes de TIR. Je ne saurais dire combien nous étions, des milliers sûrement. Mes parents avaient retrouvé des amis qu’ils avaient perdus de vue, et ça discutait à grand renfort de rire et d'éclat de voix chaleureux. Des groupes se formait au fils des conversations, tout le monde était là dans un but unique : la paix. Et ça sentait bon !
J'ai tourné la tête, et j'ai vu ce garçon qui m'observait, c'était le fils du couple qui discutait avec mes parents. Il me souriait, m'a tendu un verre de jus de fruit. Il avait 10 ans, 4 de plus que moi. Et pendant que le groupe commençait sa marche pacifique à travers TIR, nous avons lié connaissance.
Mes parents était en liesse... tout le monde était en liesse... cette manifestation pacifique allait sonner le glas des combats.
A midi sur la grand place nous avons fait sitting, les médias du monde entier était là, pour nous, pour la paix. C'est là qu'il m'a embrassée, juste un petit baiser, je vivais le plus grand jour de ma vie.
La marche a reprit vers deux heures, mais je n'ai pas remarqué le ballet incessant des véhicules-air d'Omni-Tek. Je n'ai pas remarqué non plus que le visage de mes parents s’était assombri. Par contre j'ai entendu le tonnerre grondé au loin, et j'ai vu les nuages s'amonceler en provenance du sud, j'ai pensé que cette pluie allait gâcher notre merveilleuse journée.

Je me suis rapprochée un peu plus de lui. Le ciel est devenu rouge, probablement à cause du sable que l'orage charriait dans ses nuages.
Je ne me souviens plus ce que j'ai ressentis en premier. Les gouttes de pluie sur ma peau ou le bruit qui l'accompagnait. J'ai cherché vainement le toit de tôle qui pouvait donner ce son si caractéristique. C'est beau ce bruit lorsqu'une grosse goûte de pluie s'écrase sur une plaque de métal, Et multiplier à l'infini, cela donne une dimension irréelle.
La foule s'est mise en mouvement, pour se mettre à l'abri. J'ai levé la tête au ciel, la pluie me fouettait le visage, on me bousculait, j'ai serré sa main un peu plus fort. Le bruit s'amplifiait. Des rapaces sont passés au dessus de nos têtes, ils semblaient cracher le feu. Je me suis tournée pour le regarder, il avait l'air inquiet, la pluie rougeâtre ruisselait sur son visage fermé, il avait déjà compris. Je ne sais toujours pas si c'est son sang qui a giclé sur son visage. Mais c'est seulement à ce moment que je me suis dit que les rapaces que je venais de voir étaient des véhicules-air d'Omni-Tek. Et qu'il n'y avait pas de toit en tôle à TIR, et que le claquement assourdissant que je prenais pour la pluie était le bruit des mitrailleuses.

Mon père m'a arrachée du sol, je n'ai pas vu grand chose de la panique qui s'en suivi. Mes parents se sont engouffrés dans la première porte cochère. Par contre j’entends toujours les cris de paniques et d'horreurs. On est resté là quelques minutes, à se regarder sans dire un mot comme sonné, une dizaine d’autres personnes nous ont rejoint. Enfin, les mitrailleuses ont cessées. La pluie aussi, seul quelques râles brisaient le silence qui s'était installé. Quelqu'un coure dans la rue, se rapproche, la porte s'ouvre et se referme derrière un homme à bout souffle. Tout le monde l'observe, il balbutie.
« Ils arrêtent tout le monde... à votre place, je ne resterais pas là. »
Ma mère m'a prise par la main, le groupe est sorti par la cours. Nous sommes rentré dans un autre bâtiment puis ressortie dans une autre cours... rafale d'armes automatique au loin... et puis nous avons traversé une rue, et puis, encore, et encore. Nous jouions à cache-cache avec les soldats d'Omni-Tek. Mais la partie était perdue d'avance. Alors que nous tentions d'échapper à un groupe de soldats trois d'entre nous se sont effondrés sous les balles. Mes parents ont préféré répondre à leur injonction de se rendre, sans doute à cause de moi, sinon ils auraient tenté leur chance...
On nous a traîné jusqu'au stade, sans ménagement. On y a attendu plusieurs heures. Et puis les gardes d'ICC sont arrivés, on a tous cru qu'on allait être libéré. Mais ils n'étaient là que pour les mômes.

Je revois encore mes parents se donner la main, alors que l'on nous séparait. La suite, je ne m'en souviens plus, on me l'a raconté. Les soldats d'Omni-Tek ont ouvert les portes, notre groupe escorté par les ICC guard, est sortie dans un silence de mort, des camions nous attendaient pour nous conduire au Shuttleport, direction la terre et les orphelinats d'ICC.
Il parait que les soldats d'Omni-Tek n'ont pas attendu l'évacuation des camions. Les derniers enfants à embarqués auraient entendus les premières exécutions.

Du voyage jusqu'à la terre non plus, je n'ai pas de souvenir. J'ai du retrouver mes esprits sous la douche. Je me revois encore me frotter énergiquement, comme pour me laver de toute cette horreur. Comme pour enlever mon ancienne peau, souillée par le sang.

J'entamais une nouvelle vie
bip-bip
Réguler par les sonneries du pensionnat, pour l'heure la douche était fini.
bip-bip
La sonnerie annonçait l'heure du repas, je me suis évanouie sous la douche.
bip-bip
L'eau ruisselle sur mon visage, je suis allongée sur le sable.
bip-bip
Il pleut dans le désert, mon scanner vient de repérer un groupe de scooplet
bip-bip
J'éteins l'alarme sonore, me lève, profite de cette eau salvatrice, j'aurais pu mourir de déshydratation.
Je respire un bon coup... vérifie mes nanos... prépare mon arbalète... la chasse va pouvoir commencer.

A suivre...


Part 3

Mon scanner indique 4 scooplets à moins de 200 mètres, l'un d'eux est éloigné des autres, il fera une proie facile... Je me place à l'opposé du groupe pour n'attirer que lui.

Il est temps de lancer quelques buffs, Je me concentre... place mes mains afin de débuter la séquence que je connais maintenant par coeur, Superior Bodily Reinforcement, me permettra d'augmenter mon endurance. C'est parti... Mes doigts fendent l'air qui s'électrise. Le ronronnement qui annonce la décharge de nano s'emplifit. Flash rouge... une chaleur me parcours la colonne vertébrale... Je gonfle mes poumons, je me sens plus forte... j'enchaîne, Bodily Amplification, flash, bien être...

Je suis prête... ma cible est à portée... Je lance mon nano de damage over time, Parasitic Affliction... touché... le scooplet n'a pas eu le temps de l'esquiver, le poison va faire sont effet petit à petit, mais le robot m'a repéré, il se rut sur moi... J'épaule mon arbalète et lui décoche un carreau, qui ricoche sur sa carapace... je n'ai pas le temps de réarmer qu'il est déjà sur moi et je ne peux esquiver sa queue dont il se sert comme un fouet. Le coup a été cinglant, je suis à moitié sonnée, d'instinct mes doigts replacent un carreau, je tire au jugé... Slack, son armure est transpercée... j'ai du toucher un point vital. Je dois avoir quelques secondes de répit et mon attention se relâche un instant, il ne lui en faut pas plus pour m'asséner un deuxième coup, encore plus puissant que le premier, il m'a touché le visage, je recule de quelques pas. Il retente une attaque, je parviens à l'esquiver et à le repousser, il fatigue... Mais le sang coule sur ma joue, il est temps de reprendre des forces... je profite de se sursis pour lancer un Restorative Boost, aussitôt je sens un frisson me parcourir le corps. Je dois pouvoir lui porté le coup de grâce, je réarme, l'aligne et tire... le bruit strident d'un court circuit suivi d'une petite explosion m'informe que le coup lui à été fatal...

Premier combat de la journée, sera t'il fructueux ? Une fumée noire s'échappe de l'amas de ferrailles, j'ai peu de chance d'en tirer quelque chose... rien... ce sera pour le prochain.

Il reste 3 scooplets à moins de 200 mètres, ils sont groupés et n'ont pas l'air de vouloir bouger... Merde... je dois attendre que l'un d'eux s'éloigne. Je m'assoie et songe à ces drôles de bestioles.
Bien que se ne soit que des robots, ces saloperies ont une organisation sociale...

A ce que l'on m'a raconté, ces appareils étaient destinés à la prospection des sols et étaient commandés à distances par un humain à bord de son véhicule. Mais, un jeune étudiant ingénieur qui effectuait un job d'été dans une entreprise d'extraction minière est passé par là. Très fainéant il eu l'idée d'un petit programme qu'il flasha dans la mémoire de ses scooplets pour les rendrent autonomes, et ainsi vaquer à ses loisirs pendant que ses robots bossaient pour lui... Malheureusement, il perdit plusieurs de ces petites bêtes à cause de la faune sauvage et eu toute les peines du monde à faire passer ça pour une défaillance de liaison. Bien décidé à ne pas travailler, il améliora son programme, en y rajoutant un module d'autodéfense, un module d'apprentissage et de coopération. Et tout fonctionna à merveille. A la fin de son contrat, n'ayant pas touché la prime escomptée, il lâcha ses quatre scooplets dans la nature...

Autonomie, apprentissage, autodéfense, coopération, il n'en fallu pas moins pour que ces quatre scooplets tentent d'agrandir leur groupe. Ils flashèrent le firmware de tous les scooplets qu'ils croisèrent. La société d'exploitation perdit l'ensemble de son parc en quelques semaines, elle introduisit alors le shovelet, malheureusement pour cette société, son firmware était compatible avec celui de l'étudiant ingénieur... Et c'est ainsi que Desert Dures se retrouva infesté de ces robots...

Mais tout ceci n'est après tout qu'une légende...

Une chose est sur, si vous attaquez une de ces saloperies, alors qu'un de ses congénères est en vu, vous en aurez deux sur le dos, si ce n'est pas plus...

Mais pour moi, le temps presse... je sais que bien préparée, bien concentrée, je peux en affronter 3, mais c'est risqué, surtout si un quatrième se mêle à la partie... là je suis morte... mais je ne peux plus me permettre d'attendre. Dodga m'a mis une dead line. Je dois la respecter.

Cette première victoire matinale m'a mise en confiance, petit check up, tout est ok...
J'allume mon baladeur, j'adore me booster aux décibels, ça me donne plus de confiance en combat, en faîte je crois que ça inhibe une partie de mes peurs. Ça me permet de prendre plus de risque...
Space Shanty de Leftfield... J'adore ce morceau... d'ailleurs j'adore l'album complet : Leftism... Oh ce n'est pas la daube qu'on nous sert aujourd'hui, les pop stars élevées à l'académie virtuelle... non, ça c'est du bon son terrien comme ils savaient en faire au XXI ème siècle... autant dire la préhistoire...
Ça n'empêche qu'il va falloir se la jouer stratégique... à trois contre un.
Aller ma petite... vas-y... fonce dans le tas.
Tour à tour j'enchaîne mes nanos de dot sur ces trois saloperies, elles devaient être en veille car elles mettent du temps à réagir, tout bon pour moi, ensuite concentrer un max de dégâts sur un scooplet et un seul, afin de s'en débarrasser au plus vite, mais à trois contre un, j'encaisse beaucoup plus de dégâts en beaucoup moins de temps.
Heureusement Restorative Boost est efficace et j'arrive à compenser les blessures qu'ils m'infligent grâce à mes nanos de heal. Le combat s'équilibre, et je sens que le premier scooplet est à bout de ressource, en effet un dernier trait d'arbalète et le voilà HS. Plus que deux et le tour est joué.

Habituellement je garde toujours un oeil sur mon scanner, mais ce matin je suis beaucoup trop confiante... erreur, il est trop tard pour éviter le nouveau venu, un shovelet...le grand frère des deux nabots que j'étais en train d'occire. Dans la seconde ou je l'ai aperçus j'ai su que j'avais peu de chance de m'en sortir vivante... la fuite est inutile... je vais mourir... à moins que...
Je lance toutes mes forces dans la bataille, j'oublie jusqu'à la présence des deux scooplets, une seule chose compte à présent, abattre ce shovelet... mais il est fort, beaucoup trop fort, et malgré toutes mes ruses, toutes mes parades, ce bâtard aspire toutes mes forces, seule j'aurais pu avoir le dessus, mais ses deux congénères me harcèlent sans arrêt, et je sens ma vie me filer entre les doigts...

Sur le point d'abandonner, je lève les yeux au ciel pour implorer je ne sais quel dieu auquel je ne crois de toute façon pas... Mais mon regard reste accroché à l'horizon avant d'atteindre les cieux. Mon dieu est peut être là. A quelques centaines de mètres une silhouette s'approche... Nouvelles hallucinations ? Tenir coûte que coûte... mon salut ne tient peut être qu'a quelques secondes... Je lance mon dernier heal, mon nano pool est a sec...
Mon sauveur s'approche, j'ai comme un présentement... Je ne peux contenir mes larmes, des larmes de douleur, mais aussi des larmes d'espoirs. Est ce bien lui ?

En quelques bonds, il s'interpose entre moi et mes bourreaux, je tombe à genoux... je le vois préparer ses nanos, dont il a le secret... la poussière monte autour de nous et semble former un rempart, éclair blanc rougeoyant, ses nanos fusent et frappent... en quelques secondes c'est terminé... Je lui dois la vie.

A suivre...

Auteur
Opibombjulia
Invité




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Message
MessagePosté le: Mer Fév 01, 2006 9:14 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Louleen de nous faire relire ta bio Smile

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